Krisprolls en suédois ça se dit ? CHKRICHPROLCHE !

Alors le voila, ce chapitre que tout le monde attend. Certains vont me flageller le visage avec un martinet pour avoir attendu si longtemps la suite du récit, mais enfin il est la. Il est de notoriété publique que les Iles Lofotens sont considérées comme le lieu le plus beau de Norvège, et Julien se devait d'aller vérifier ces racontards populaires !!! Trop souvent on a exagéré la magnificence de la côte Normande, et même si d'une certaine façon, cela n'est pas complétement faux, par définition ce n'est pas non plus complétement vrai. De la même façon, il n'était pas tolérable pour notre Normand préféré que l'ignorance prédomine sur la vérité. Une fois auparavant déja, Julien s'était fait berner par des pseudo haut-alpins lui vendant du rêve sur une ville intitulée Embrun et qui n'était finalement qu'un groupement de maisons situées dans un endroit moisi de notre pays. C'est donc dans ces conditions que s'est organisée lors du "weekend" s'étalant du Mercredi après-midi 30 septembre au Lundi matin 5 octobre très très tôt, l'expédition appelée pour l'occasion "phoque sur la banquise".

 

La composition de l'équipe faisant le déplacement dans la partie supérieure au cercle polaire de la Norvège (mais nous y reviendrons plus tard), et je ne suis pas en train de présenter un match de foot, se présente sous la forme suivante : 9 français et 1 australien (ne sachant dire en français que "une maredsous 8 si il vous plait" phrase d'une importance capitale dans un contexte Grenoblois je vous l'accorde, mais finalement assez inutile lorsqu'il s'agit d'engager une conversation). L'homme kangourou étant de surcroit de nature peu loquace, il n'a pas été souvent évident de récolter le fond de sa pensée à travers l'ensemble du périple. Mais ne nous éloignons pas trop de notre trame narrative.

 

JOUR ZERO - Mercredi 30 septembre

 

Le départ a eu lieu pour Julien après un cours de béton armé, le laissant, et je vous laisse imaginer, dans un état très guilleret si vous vous souvenez de l'engouement que porte ce dernier pour la science du GC !!! Le choix a été fait par l'ensemble de l'équipe qu'il serait préférable de se rendre sur place en louant des véhicules. C'est plus intéressant d'un point de vue financier dans un premier temps, et puis cela a un coté pratique, n'étant pas dépendant du système des transports en communs quasi néants sur les iles Lofotens.

 

Le trajet durera dans sa globalité une douzaine d'heure de voiture et 4h de bateau. Je vais vous épargner les détails, puisque dans son ensemble il s'est résumé à montrer son slip devant le panneau du cercle polaire, discuter de la nécessité du ponpon au bout des bonnets, et expliquer à Mathieu que "non il n'a pas une voix de diva, non tu n'es pas le nouveau Fredo Marcurax, aie mes oreilles, arrétez de chanter monsieur, je vous en supplie arrétez c'est horrible". Voici quelques clichés présentant, une carte de la partie de la Norvège qui nous intéresse afin de vous situer les Lofotens, le passage du cercle polaire et des photos du bateau avant notre arrivée sur place. Et pour éclaircir un point, la nature exhibitionniste du protagoniste de cette histoire a contrairement à son habitude, lancé l'idée que "ouai ça serait bien qu'on soit en slip devant le panneau du cerle polaire". Par respect pour mes lecteurs, je ne divulguerai pas les clichés, certains sont déja assez jaloux d'une photo dans un sauna (mais je reviendrai sur ce point dans un article prochain).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Le navire a donc souquer les artimuses (même si ça ne veut rien dire, je me disai bien aussi), en direction des Lofotens sur les coups de 3h du matin, nous laissant 4h de sommeil mérité dans le bateau avant de débarquer sur l'archipel nordique dans les environs de 7h et des bananes.

 

Tout bon narrateur dans un soucis de clarté à l'intention de ses lecteurs doit organiser son texte.  Voici donc le premier jour, Tadada, jingle premier jour.

 

PREMIER JOUR - Jeudi 1er octobre 2009

 

Si d'un point de vue pictural, les Lofotens représentent un potentiel suffisament important pour faire de l'ombre à Sir Yann Arthus Bertrand lui même, d'un point de vue narratif, le contenu est faible, vu qu'en fait on fait que rouler, marcher et prendre des photos. Je vais toutefois essayer de rendre cela aussi glamour que possible, en utilisant des métaphores, des oxymores, des litotes, des jeux de mots minables et autres calembourgs.

 

Quoi qu'il en soit, nous avons commencer par un petit-déjeuner sur une colline aussi belle que les cheveux de Miche au printemps (métaphore bien placée, le style est élégant, je valide). Cette collation a ensuite laissée place à la visite du village situé en contrebas de ce relief comparé à la chevelure de l'individu pré-cité. Ce village est caractérisé par son nom tout à fait particulier puisque uniquement constitué d'une simple voyelle :  Å. Pour illustrer mes propos, voici les photos qui vont bien.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Après cette session de shooting, nous nous sommes engagé sur la route en direction de joyau des Lofotens, à savoir l'agglomération de Reine où nous avons passé notre première nuit. Les clichés suivants ont été pris ça et là tout au long du trajet.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour ceux qui se posent la question, la seconde photos parmis les quatre précédentes, n'est en rien une illustration à caractère adulte, mais simplement une représentation très personnelle de la chenille (la chanson à succès). La prochaine série de photo présente la ville de Reine. Il s'agit d'une cité batie sur des petits ilots situés dans une relative grande baie, l'ensemble étant relié par des  ponts en béton-armé TAC TAC t'as vu GCI en force.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Les deux premières photos sont une photo relativement panoramique de Reine,alors que les quatre suivantes sont des clichés pris de la partie "pêcheur" de la ville. On peut notamment voir un bbooOOOOOooo pont en béton armé, tellement beau que Mathieu "aimes ça" avec ses pouces. C'est donc sur ces magnifiques images de béton que nos amis ont décidé de cloturer cette journée.  Ils ont rejoins l'auberge pour des parties de cartes endiablées où, par pudeur, on ne dira pas qui remporta la partie de coinche quotidienne.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Nico et julien cherchent les aurores boréales, mais ils ne les trouvent pas.

 

 

DEUXIEME JOUR - Vendredi 2 septembre 2009

 

 Pour ceux qui s'attendaient à avoir du récit, beaucoup de récit et rien que du récit, vous allez être déçu, cette journée sera presque uniquement représentée par un amas de clichés. Lors de cette journée nous avons passé la matinée à nous rendre dans un joli village classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. Pour ceux qui ne connaisssent pas il y a trois critères majeurs pour pouvoir rentrer dans cette liste très prisée. Le lieu doit être joli, habité par des vieux, et ne doit pa avoir l'ADSL rendant l'ensemble relativement hostile et inhospitalier pour notre geek préféré. Bref tu viens, tu prends des photos, tu manges ta pom'pote, et tu t'en vas parce que tu te fais chier. Les clichés suivant illustrent le trajet puis l'arrivée dans le village.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Comme tout le monde le sait, une baignade met toujours en appétit avant un repas. C'est surement la raison qui a poussé Michael, Vincent, Kevin et Sam (notre ami Koala), à se jeter à l'eau avant le pique-nique bien mérité.  La baignade aventure, tel des Sidney Fox de l'arctique est ici mis en illustration. Ensuite sont présentés dans l'ordre la fin de la ballade et la collation de mi-journée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

  Si on ne s'arrète pas à la crinière de feu de notre ami anglophone, on peut remarquer sur les clichés précédents, la présence d'un GCI jovial avec ses pouces et d'un jacuzzi traditionnel pas trop mal situé.

 

L'ensemble du voyage étant trop long pour être narré et mis en image en un seul article, la prochaine série va conclure celui-ci et la seconde journée sur l'archipel par la même occasion. Il s'agit théoriquement de la plus plage des Lofotens, mais venant lui même d'un village marin, notre Normand favori n'aura vu ici qu'une plage d'une banalité affligeante qu'il n'avait guère retrouvé que dans celui du paysage Embrunais.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Pour la petite histoire, l'auberge suivante contenait un sauna qui cette fois ci ne donna pas lieu à de croustillantes photos dignes des dieux du stade. La soirée se termina par une victoire australienne au poker qui prouva à tout le monde qu'il jouait mieux à cette discipline que Nico et Etienne à la coinche. Sur cette phrase qui demande à réfléchir, je vous abandonne et je vous retrouve très rapidement dans le chapitre suivant narrant la seconde partie de ce roadtrip.

Ce weekend a eu lieu la deuxième équipée sauvage à l'intérieur de la nature (into the wild dans la langue de shakespear). Si la première s'était soldée par un bilan mitigé, celle ci est une complète réussite. En voici un bref résumé aggrémenté de quelques illustrations embéllies par la présence de branches.

 

La cabine réservée ce week end s'appelle "Fosenkoia", du nom de la région dans laquelle elle est située. Pour vous situer encore mieux l'endroit, son emplacement se trouve de l'autre coté du fjord de trondheim. Il était donc nécessaire d'emprunter le Ferry (ou faire 5h de voiture autour du fjord) pour atteindre le point de départ de l'expédition. Ci-dessous, quelques photos du début de l'aventure.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette première série de photos nous présente dans un premier temps un bateau. Pour les gens normaux, un bateau c'est un bateau, et pour les débiles mentaux, il s'agit d'un véhicule flottant sur l'eau depuis qu'un vieux crouton répondant au nom d'archimède, a dit que c'était possible.  La second photo est une illustration de l'expression "être attaché à son pays". Cela n'est toutefois pas vrai dans la mesure où mathieu (le petit gros qui tient le drapeau), est francais.

 

De l'autre coté du fjord, et dès la descente du bateau nous avons attaqué l'ascencion du point culminant de la région s'étendant sur au moins un rayon de 5km.  Cette première partie de randonnée a été marquée par l'absence totale d'anecdote, la rendant ennuyeuse au possible. Les randonneurs ont donc arpenté des chemins forestier ou s'entremêlent boue et marécages.

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 On voit ici un saut de cabri parfaitement exécuté par le petit gros (ndlr mathieu), suivi de près par Malo qui s'accroche à ses rêves (ici un paquet de chips). Les photos suivants sont des images du pique nique. On y remarque notamment une photo très belle par la présence d'une branche en plein milieu, donnant un ton très camaïeu à l'illustration. La seconde photo est également très belle vu que Julien est dessus.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après quelques tranches de roties de porc bien méritées pour Nico et Mathieu et des sandwichs normaux pour les autres, la caravane de l'extrême s'est remise en route en direction de la cabine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La fin de parcours  est marquée par un changement brusque de végétation, car on a dépassé l'impressionante barre des 340m d'altitude. Le manque d'oxygène commence à se faire resentir et cela devient difficilement respirable. Toutefois, et vu que nos personnages principaux sont des déglingos dans leurs têtes, ils y sont quand même allé. Voici donc quelques clichés pris sur le "toit du monde".

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Sur la dernière de ces quatre photos on voir le fjord séparant Trondheim de la presque ile sur laquelle se déroule notre aventure. Trondheim est donc sur la photo, de l'autre coté du fjord (large de 15km environ), mais pas réellement visible étant donné la résolution de la photo. 

 

C'est donc après 3h d'intense randonnée que l'expédition touche à son but en atteignant la cabine de Fosenkoia. C'est une bicoque en tronc d'arbre posée au bord d'un lac miniature. L'endroit est plutot calme malgrès la présence d'espèces aussi sauvages et dangereuses que la grenouille européenne commune. Comme toute cabine qui se respecte en Norvège, il n'y a rien. Juste une table, 2 bancs, 8 lits, 1 poele  et 2 casseroles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On pourrait croire que les weekends en cabine sont de tout repos. Ce serait se fourvoyer totalement. Sur place, des tonnes de choses à faire ou faisable se mettent en place. La première mission consiste à couper du bois pour les suivants. C'est à dire que chaque expédition s'engage en venant à la cabine, à couper du bois et le mettre au sec, afin que les futurs trappeurs de l'extrême, ne se retrouve pas surgelé à la fin de la nuit. Autre activité envisageable, si vous êtes, tout comme Nico (en vert sur la précédente photo), ou Vincent (en short de bain dans les roseaux sur une des photos suivantes), suffisament grillé du cerveau pour vous baigner dans un étang ne dépassant pas les 10°c. Dans tout les cas, les deux activités cités précédemment donnent lieu à une nouvelle activité déja en place en France, le gouter au nutella (Nougatine en norvège, mais c'est drolement moins bon).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après s'organise une soirée standard refuge, à savoir : feu, pâtes au saumon, coinche, enculette (jeu de carte également appelé ascenceur), discussions philosophiques et blagues vaseuses. Et en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire, on est dans son duvet en train  de dormir. En théorie il est possible de faire la grasse matinée, mais si Nico et son portable prennent par à l'expédition alors il ne faut pas y compter. Après un petit dej' suffisament chargé (encore en nougatine), l'expédition se dirige vers un retour expéditif

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 1h30 de marche, 2h de coinche, 20 minute de séchage de pied, et 45min de bateau. Terminé on remballe !!!

 

 

Devant l'incessante demande de mes fans en délire ET en chaussette, je craque et je repars dans la rédaction de mon nouvel opus. Voila maintenant quelques semaines que je vous ai délaissé, et je sais que certains d'entre vous m'en veulent. C'est pourquoi ce nouveau chapitre sera riche en commentaires tout aussi pertinent que sa sainteté le pape Robert 12ème du nom (dit “Robert Ledoux au téléphone”), dans un magasin Aubade de lingerie coquine (autrement appelée lingerie Odile Langue). Cette fois ci, c'est le paysage Trondheimien qui passera sous le rouleau compresseur littéraire de ma plume acerbe (notez ici l'aisance avec laquelle le narrateur lance le nouvel épisode en gardant le style du précédent pourtant écris un mois auparavant).

Mais avant toutes choses, c'est quoi Trondheim ? Pour beaucoup de gens, la ville de Trondheim est plus connue sous le nom "Rosenborg football club". Néanmoins, ceux qui s'y intéresseront d'avantage auront remaqué que c'est également une ville étudiante avec la faculté des sciences de Norvège,  entourée d'arbres, de lac, de fjords et de montagnes.

La température moyenne est de 10°C, pour un taux l'ensoleillement atteignant 5% (du moins en hiver). Les précipitations sont de 100 mètres par an. Lors du passage de nostradamus en l'an 1540, ce dernier dit : « Le 15 Juin 2007, ici apparaitra le soleil », cette prédiction fût une erreur, et les habitants de trondheim attendent encore le Soleil. Une autre légende raconte que le soleil serait effectivement apparu, mais les habitants, incapables de savoir à quoi il ressemblait ne l'aurait pas remarqué et aurait cru qu'il n'était pas apparu. La première version semble toutefois plus probable.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette première série de photo montre une vue panoramique de Trondheim. Notez la présence de ciel bleu sur ces photos. La troisième photo est prise du pont du bonheur et la quatrième est une photo de la "plage" de trondheim.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces deux dernières photos nous montrent une vue du fjord et de la ville à partir de la colline située à l'ouest de la ville.

 

Après cette rapide présentation, je vais passer à la crême du poulet. Si je devais parler rapidement des norvégiens,  je dirai qu'ils sont réservés et qu'ils aiment communier avec la nature. Autrement dit, ils aiment bien picoller dans des cabanes dans la forêt. Et c'est cette aventure que notre étudiant isérois préféré à expérimenté. Le sujet suivant s'intitule donc "Cabin trip" !!!

 

Une "cabin" est une sorte de refuge situé en pleine nature. Sa capacité varie de 2 à 25 personnes, et elles sont gérées par une association étudiante de la fac. Elles sont accessibles par des chemins de forêt, en voiture pour les plus fainéants, ou à pieds pour les plus téméraires. L'équipe à laquelle julien s'est greffé est composée de 4 Français (vincent, mathieu, Doriane et Nico). Et c'est donc après 15 à 20 km de marche que nos randonneurs ont atteint le refuge tant attendu.

 

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 De gauche à droite sur la première photo : Mathieu, Doriane,Julien Bordèle, Nico. Ensuite la deuxième photo c'est un sentier dans une forêt. Il est important de noter qu'un appareil photo ne se sort pas sous la pluie, et donc on a que des photos ou ca pleut pas. Mais en vrai c'est faux, il a fait que pleuvoir.

 

Mais continuons notre trame narrative. Sur place, on se retrouve donc dans notre cabine. Celle choisie étant une cabine de 25, on se retrouve donc avec d'autres gens à partager une soirée qui s'annonce conviviale et banale. C'était sans compter sur le potentiel cascadif dit potentiel Jean Claude Van Dame des Néerlandais présents sur place.

 

Ouvrons maintenant une parenthèse Jean-Claude Van Dame pour ceux qui ne le connaissent pas  :

Jean-Claude Van Damme, de son vrai nom Jean-Claude Camille François Albert Baudoin Léopold Van Vaerenbergh Van Berchem, est un acteur incompris, philosophe belge,  docteur en astro-physique,  agent chez EDF et direct héritier de Ken le Survivant.

Sa marque de commerce demeure son éternel grand écart entre deux chaises à 180 degrés, qui lui a rapporté de plantureux cachets (monétaires d'abord, de coke ensuite). Autre signe particulier, J-C, à l'instar de son cousin bethléméen, JCDB, a des idées sur tout. Ceci lui permit de remporter le face-à-face de joute verbale en salle de 1992 à Athènes, contre Platon, un des ses nombreux détracteurs.

 

 Mais retournons à nos Néerlandais. Si ce pays est surtout connu pour son aspect légal, il n'est pas rare de trouver le drapeau du pays des tulipes dans des palmares de disciplines des plus acrobatiques. Et c'est ici que la trame narrative prend une envolée dramatique. Non content de la faible place disponible à l'intérieur de la cabin, un des Néerlandais s'écrie "hej, jar og dinanen unen bachen". Pour la simplicité de mes lecteurs, je me suis permis d'effectuer une traduction. "Et, on accrocherait bien une bâche pour faire office de toit à 3m du sol en montant sur cette echelle dont les barreauxen bois ont l'air complétement pourris"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ses compères ne voyant pas de motif contre le laissèrent s'executer (et je l'utilise dans le sens suicidale du mot). Aux environs du dernier barreau de l'échelle, ce dernier se brisa à son état limite Ultime  (1.35G + 1.5Q), le menton du hollandais percutant le premier barreau situé  en dessous, projetant ainsi l'ensemble du corps de ce dernier en arrière défiant ainsi madame la gravité. Cette dernière fut surement touchée dans son estime. Quoi qu'il en soit Newton l'a prouvé il y a maintenant quelques années, un Néelrandais inconscient qui tombe, c'est comme une pomme. 

 

Notre histoire aurait très bien pu s'arréter ici, mais  Dieu (ou Chuck Norris),en avait décidé autrement. Un demi heure après l'incident, notre ami acrobate vomissait, convulsait par intermitence et inversait des mots. Résultat : ses amis appelèrent les urgences. Et si ces dernières se déplacent en voiture en France, ici en norvège, au beau milieu de la forêt, c'est en hélicoptère qu'elles font le déplacement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le reste du weekend fut du coup presque anecdotique.  Des barques étaient en accès libres le long du lacsitué à 20m de la cabine  et les 5 français ont du coup décidé de faire une petite virée sur les iles au milieu du lac, tels les Marco Polo de la Norvège. La photo suivante nous montre le lac à travers les arbres et vu depuis la cabine. 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le soirée riche en discussions mais pauvres en contenu anecdotique s'est résumée à manger, jouer aux cartes en général et à une démonstration de Julien et d'un autre Grenoblois de la suprématie Alpine face à Paris en matière de coinche. Le refuge ne possédant pas d'éclairage suffisament important je n'ai pas de photos de la soirée. Seul une photo du dortoire est exploitable.

 

 La journée du lendemain s'est entamée à 10h du matin, et s'est résumé à la vaisselle de la veille dans l'eau gelée du lac, et à un retour tout aussi riche en rebondissement qu'une motte de beurre demi-sel qui tombe par terre. Bon si vous insistez : Franck, un des autres françaisdu refuge ayant eu un soucis de pneus avec son vélo, nous accompagna sur le chemin du retour (mais je vous avais dit, c'est pas intéressant alors vous plaignez pas)

 

Les photos suivantes nous présentent le pic-nic de mi parcours ainsi que l'attente du bus / séchage de pied en fin de parcours.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Voilou, ici s'achèvece chapitre. Un nouveau cabin trip s'organisant le weekend prochain (19-20 septembre), attendez vous à voir un nouvel article dans les jours qui vont le suivre.

 

Kiss Love Flex !!

 

 

Le logement en Norvège c'est comme la mine anti-personelle pour les petits cambodgiens : difficile à voir au début, mais quand t'es dessus, ça envoie de la purée !!!!!!!! Car oui de la purée. On est à Trondheim en Norvège, là où le logement est un véritable problème. Et nos deux héros l'ont bien compris. Alors voila, comment s'organise ce nouveau chapitre ? Parce que l'organisation rigoureuse scientifique, voir même l'organisation fonctionnairistique (se dit d'une personne dont l'organisation et le classement sont bien plus qu'un mode de vie, c'est une véritable religion où le dieu se nomme Alphabétos-Numéros. Citation : "les dossiers rouges dans les classeurs rouges. Ils sont très à cheval la dessus au ministère" [l'auberge espagnole])est la clé d'une bonne présentation, notre article se décomposera en QUATRE grands axes : Les auberges qui vont bien, Mets locaux, La FEUK ou poudlard ?, Sök

 

PARTIE 1 - Les auberges qui vont bien

 

Nos deux héros l'ont bien compri. Quand t'as pas d'appart, pas de tente et pas d'argent : "ba t'es un clodo et pi c'est tout !!" [Philippe Lucas]. Fort heureusement ce n'est pas leur cas. C'est vrai qu'ils n'ont pas fait péter la guitoune pour le voyage, mais au moins ils sont pétés de Thunes comme Paris-Hilton après avoir vendu sa nouvelle Sextape !!!

 

Du coup, nos deux amis se permettent de loger dans une auberge de grande qualité. Une sorte de camp militaire où le geek en recherche d'appart prédomine sur le caporal alcoolique en train de vomir ses tripes après un mauvais bourbon. Quoi que ? Mais nous y reviendrons plus tard.

 

Parlons un peu chiffres : 150 personnes pour 149,77 lits, 2 douches (chaudes 3h par jour), 10 euros la nuit. Mais comme il s'agit d'un blog, et comme mon esprit Nicolas Hulot, journaliste de l'extrême l'emporte sur mon coté Christian Jean-Pierre (ndlr : journaliste de merde), je me permet de joindre à l'article les photos qui vont bien

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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- Poppy c'est à vous, dites le avec vos mots !!

- Wouaf !!!!!

- Rien à ajouter votre honneur !!

...

 [Poppy qui témoigne à la barre]

 

 

 

 

 

 Finalement, le seul gros inconvénient est peux-être la non gérence stomachale-alcoolique de quelques jeunes blonds en pleine découverte de l'alcool. Parce qu'on sait qu'alcool et lardon ne font pas bon ménage, on (la plupart des gens) évite d'abuser des bonnes choses et de se retrouver à 3h du mat' à vomir ses tripes sur le lit et les chaussettes d'un autre. Ce n'est pas le cas de Svensson. Je vous épargnerai les photos de l'oeuvre précédemment citée, et  comme je suis un écrivaint de talent, la liaison entre ce chapitre et le suivant est toute trouvée.

 

 

 Partie 2 - Mets locaux (se prononce Mélocco, mais n'a aucun lien de parenté avec le Melocoton, alcool de pêche pour jeune fille en fleur et en pleine croissance de poitrine)

 

Car la cuisine locale est un incontournable du voyage à l'étranger, les tours opérators ont compris qu'il fallait y consacrer du temps. C'est évidemment dans cet esprit Guide Michelin que nos deux Français se sont permis quelques folies gustatives. Voici leurs témoignages :

 

"C'est au détour d'une petite ruelle que nous sommes tombés sur cet alléchant petit restaurant américain. Surement une spécialité locale puisqu'il avait l'air bondé. Nous sommes donc rentré et après quelques minutes nous avons décidé de nous lancer sur le Sattmacher. C'est à base de "Burger", une sorte de sandwich avec un steak haché dedans. Le gout est vraiment intéressant. Un sandwich miniature et une glace au Karamel étaient livrés avec. Bref un régal pour les papilles."

 

 

 

 

 

" 'Pendant un instant j'ai cru que j'étais en train de me noyer',  'Ca ferait un excellent mortier !!', 'OUNE poutite piéche pourmanché sifouplé', voila quelques témoignages réunis au hasard par des locaux lorsqu'on leur a demandé ce que c'était que ce fameux gateau au chocolat. On pourrait le décrire en disant qu'il s'agit du résultat du coïte entre une tablette de chocolat Noir 90% et d'un petit beurre sans beurre !!!! Ou simplement dire que c'est dégueu !!! Très interessant !!!"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le dernier met tenté jusqu'à présent est une sorte de cassoulet local intitulé "Brun Lapskaus". On ne mettra pas de témoignage, juste des photos qui parlent d'elles mêmes !!

  

 

 

 

 

 

 

 

 

Partie 3 - La FEUK (s'écrit comme ça se prononce) ou bien Poudlard l'école des sorciers

 

 J'avais lu quelques part que le bâtimentle plus vieux de la fac, avait été utilisé dans la réalisation de poudlard en effet spéciaux. Même si je n'ai pas pu confirmer cette information en cherchant sur le web, je dirai que c'est bien possible. Cette première semaine aura donc permi à Ju et Malo de découvrir les joies du campus à l'américaine. La semaine se sera donc entamée avec un discours aussi soporifique que ce paragraphe de la part d'une ministre Norvégienne, lors de la prestigieuse cérémonie d'ouverture de l'année facultaire. Sans plus tarder voici les photos illustrant mes propos pour prouver que : Non je ne ment pas.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Des gens qui regardent d'autres gens, et une ministre qui raconte que la faculfepdfozZZzZZZz !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Sans les gens avec une vue de dehors de la cantine de poudlard (derrière la scène) ?

 

Après quelques formalités administratives auprès d'une secrétaire dont la ravissance est égale au carré de la somme des secrétaires de l'ufr de méca, les deux apprentis sorciers se sont donc retrouvés à un BBQ (barbecue écrit à l'américaine et ué mon pote), puis à pratiquer un jeu de boisson typiquement Norvégien qui consiste à lancer des bouts de bois sur d'autres bouts de bois. Comme le montre les photos qui suivent, lorsqu'un jeu consiste à lancer des projectiles sur des objets qu'il faut faire tomber, le tout avec un verre à la main, les Français excellent et les autres restent admiratifs !!! Bien évidemment quinze années de CAPS n'ont rien à voir avec ça !!! 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 En direction du caps sur le campus !!! Et "Regardes bébé !!! J'te montres comment faut faire !!"

 

 

Partie 4 - Sök (chercher en Norvégien)

 

 Pas grand chose à dire tout est dans le titre. Ca prend trois lignes sur un blog, mais ça occupe toute la journée !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voilou pour aujourd'hui. Ici Trondheim, à vous Boulogne, à vous les studios !!

 

Bonjour à mes fans. Chose promise, chose due, je vais tenir une sorte de roman photo que je vais mettre aussi régulièrement que possible à jour. De la culture locale aux magnifiques paysages, tout y passera. Voila pour la situation initiale.

 

On va commencer avec le commencement, c'est l'histoire d'un premier mec qui dit à un second mec "même pas cap' !!". On n'a pas énormément de précision sur cette histoire, mais ce qu'on sait, c'est que ce second mec se retrouve 6 mois et 327 maredsous plus tard en train de plier des chaussettes et des slips cotons taille 12 ans dans un sac pour aller tester les bienfaits du sauna et du saumon fumé en Norvège. Notre héro (le second mec pour ceux qui ont rien compris), s'intitule Julien. Julien aime le béton armé, Julien aime les toupies de béton. Mais ce que Julien adore par dessus tout, c'est faire des photos de beauf et les faire partager à ses amis, justifiant l"existence de ce beaufblog (cqfd).

  

Ce qui n'a pas été dit plus tôt, c'est que Julien pour son voyage jusqu'au pays des meubles en kit, s'est affublé d'un compagnon de voyage. Celui-ci s'intitule Malo, et présente tout comme Julien, une passion infinie pour le Béton armé.

 

Assez avec les éléments parturbateurs, passons aux péripéties. C'est donc le Vendredi 7 Aout 2009 que notre premier chapitre s'engage. La Malomobile (ndlr : une sorte de Renault Chamade presque belle mais pas trop), est garée en pleine bourgade de Langrune sur mer, le joyeau de la côte Normande (autrement appelé le Embrun du Calvados). Et c'est donc à 8h du matin (mais c'était prévu 7h) que nos deux explorateurs des temps modernes s'élancent dans un cavalcade effrénée en direction de la Scandinavie, sans passer par la case départ, sans toucher 20000 euros. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Seize heures plus tard, nos deux compères se permettent une escale à copenaghe. (Notez ici que l'auteur de cet article,  se permet quelques libertés en supprimant volontairement la partie rapportant le trajet). Ici encore peu de choses intéressantes à raconter. Le Maine-et-Loirien précédemment cité (ndlr : Malo), aurait selon toute vraissemblance quelques vagues connaissances. Une de ces dernières étant positionnée dans la capitale Danoise, l'expédition aura profité de cet avantage tactique pour ne pas entamer le potentiel pécunier engreangé avant la crise (c'est la crise. Jingle : c'est la crise !!). Bref, s'en suit une sorte de rix, ainsi qu'un ensemble de photos prises pendant le safari Danois réalisé pendant le jour de repos.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Malo qui envisage la Tuborg comme un jouet sexuel, Un chat dans une boite a pain (ou l'inverse?), Une photo utile et son auteur dans le reflet de la vitre, Honfleur ou copenaghe ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'opéra de Copenaghe ainsi qu'une fontaine trop confiante dans le fait qu'il ne peut rien lui arriver de grave, même pas être inculpé de meurtre de gros orteil.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Photos dont seul l'inutilité n'égale la nullité des monuments immortalisés.

 

Après ce bref petit break pictural, nous allons nous permettre de reprendre notre narration la où nous l'avons laissée. Non content de fournir des illustrations tout aussi inutile que beaufs, nos deux explorateurs en herbe se permettent également de prendre des initiatives plus que stupide. On ne sait pas encore vraiment comment l'idée est arrivée jusqu'à leur cerveau, on sait seulement que l'un d'entre eux s'est écrié à un moment "et si on faisait la route de nuit ?". La percution d'esprit du second n'égalant que l'intelligence du premier, il rétorqua "mais oui !!". Et c'est ainsi que l'entrée en Scandinavie se fit par l'incroyable et immense pont reliant le Danemark à la mère patrie d'Ikéa, et par la lumière d'un magnifique levé de nuit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Un cas d'école en matière de GC ainsi qu'un coucher de soleil sur son lit de rétroviseur !!

 

 La fin du périple est aussi palpitante que la vie sexuelle d'un escargot prépubert demandant à son papa pourquoi il est aussi sa maman. Le trajet aura duré douze heures environ et c'est par un froid matin d'été, que Thor au volant de son char de guerre de marque Renault a pénétré le Valhalah des étudiants scandinave en manque de bière et de neige aussi. Je conclurai ce chapitre en vous laissant sur un amoncellement de clichés tirés pendant la fin du trajet jusqu'à Trondheim, partant de 200 km auparavant environ.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Admirez le talent du photographe qui a tout pris en roulant !!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Un mâle Normand en période de rût, son territoire de chasse : les fermes